Témoignages
« Chaque lundi, nous sommes tous très impatients de leur venue, car nous passons toujours de très bons moments de rigolades, de devinettes, de chansons, de courses folles ou de cache-cache… Cela coupe le quotidien redondant des enfants, qui sont beaucoup sollicités par leur rééducation, leurs soins et l’école.
Cette bulle d’air que nous amènent les clowns, est très bénéfique pour eux, car c’est un moment de lâcher-prise où presque tout est permis !

C’est aussi un repère important dans le temps pour les enfants qui ont des difficultés d’apprentissages (jour de la semaine, l’heure et le moment de la journée…)
Les artistes-Clowns apportent joie et bon humeur aux enfants mais aussi au personnel soignant. »
Charlène, éducatrice de jeunes enfants,
CRTLA : Centre Référant des Troubles du Langage et des Apprentissages, 28 enfants âgés de 6 à 11 ans,
Médecine Physique et de Réadaptation : 13 enfants âgés de 4 à 15 ans
Neurologie : 2/3 enfants, tout âge
Les enfants de Brézin 3 aiment beaucoup la visite des clowns le lundi. Surtout les plus petits qui vont au plus près d’eux, il y a de superbes échanges. Les enfants attendent avec impatience la venue des clowns. Un peu de bonheur et beaucoup d’animation pour commencer la semaine.
Stella (aide-soignante, Brézin 3 rdc – CRTLA)


« Un merveilleux moment passé avec les clowns Betty Craquette et Choubidou ! Drôles, fantaisistes, émouvants : grâce à eux on oublie les soins , l’hôpital et ils nous emmènent dans leur monde si gai !
Bravo !
Excellente journée ! «
Laëtitia.
L’intervention des clowns apporte un moment d’insouciance, de joie, de jeu où l’esprit des enfants et des soignants s’échappe complètement de la maladie. Cela fait du bien au moral et aide dans le reste de la journée à mieux supporter les soins. Pour les soignants les clowns sont une soupape c’est un moment où l’on peut décompresser et ne plus être sérieuse où l’on peut redevenir enfant. Après le passage des clowns les enfants vont mieux accepter les soins pas agréables. Le moment des clowns est un moment suspendu, le stress s’en va ainsi que les douleurs. Les parents sont surpris de se prendre au jeu des clowns.
Marie-Adeline DENIS cadre service réanimation
